PHYSIQUES.
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qu'auparava11r. Si aprcs que la fer-–
mentation de ces diffl:rens .
irs el1:
paffée ,
&
qt~'ils
font
redevenus
cbirs,
011
admet
de
nouvel air
comme auparav.111t ; ces airs
d -
viendront de nouvean rougeátres,
&
détruiront
co nme
auparavant
l'air nouvellemcut a
hni ;
&
cela
aprcs pluíiems opérarions
ainú rei–
térées.
1\1ai
a¡wes
cha.que opéra–
ti n , la
deíl:r
Jétion du nou vel a· r
fe
fera de moins en moins, ju[q
i'a
ce qu'enfin il ne s'en
décrui!e
plus.
Il
aniven
la
m~
ne
chofe a pres
pluúeurs
femaines
d'inre ·Hi
~e
,
pourvu cet)endant que l'on n'ait
point rrop introduic
de
no·1ve1 air.
Or je rrouve
la
quamité de n
t
vel air a.inú dérruire,
:.l
pe
t
pre~
égale
a
la
premiere quanti
é
d)ai.
folplmreux d.rns le flacoa renvcr
é.
Si cette expérience nous
t:
ur–
nit une preuve convaincanre d"
h
vive agitarion
&
de l'effervefcence
que produit le mclange d'un nou–
vel
air
a.vec
tm air
clurgé de va-
l
lV