.,92,
REFLEXION
peurs
fulphureufes , qui
(e
(ont
'lévées de difFérenres fubíl:ances
minéral s ,
particnlierement des
pyritcs
qui abondent dans
la
rerre,
ne
pouvons -
nous
pas vraifc
mbla–
blemem condure que
cette
cha–
leur
infu
portable
&
accablante
que nou
ntons
qu lquefois
>
vient
de la
ferment~tion
imetl:ine qui
fe
fait
entre l'air
&
les
vapeurs
fulphureu[es qui
[e
font
xlulées
de
la terre ,
&
qui ceffe au11itot
8ue l'air
&
ces vapeurs fonc éga–
lemem
&
parfaitement melées en–
fcmble
~
Comme il
arrive
auHi
dans
les effervefcences
&
fermentations
d,autres
liqueurs.
AinG l'obferva–
tion ordinaire
que les
écl
irs re–
froidiífent l'air) paroit
erre
fond
I
e
fur une bonne
raifon :
ffavoir ,
qu'ils
font
les
plus
grapd~
&
les
derniers
efforts
de
cette
eftervef–
cence.
Ne
pouvons -nous
pas probable–
ment auili
condure
que
le
preu1ier
fc
u des
éclairs provient du m "lange