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IQUE
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fubit
de l'air pur
&
íerein
qui
efl
au - deffus des nues, avec les va–
peurs
fulphureufes
qui
fe
font
quelq·1efois
élévées
en
grande
quancic:é immédiatemem
au -
def–
fou
de ces mem .... s nues ;
p(lif–
qu'ordin.Úrement les pl
is
g ·amis
coups de tonnerre
n'arri
vern:
que
lorfq 1e le ciel eíl: cha
·g
de m a..
ges noi rs,
&
qu'il tonne rarement
fans ce
forces de
mrn
0
....
s
:
les nua–
ges
fai
ant dans cette occafion
peu pres le meme efret q le le fla–
con
renverfé dom
nous avons
par–
lé ; faifant, dis - je,
la
feparation
de
l'air pur
&
des
airs
folphureux,
qui , de
m~me
que les airs
enfer–
rnés dans ce flacon , venant a fe
m"
ler
tout
d'un coup au travers
de
interíl:ices des nues , doivent
conféquemment
prodmre
une
fer–
mencation plus violente, que
fi
ces
diffi' rens airs s'éroicnt melés p
l1
peu ' fans
rinterpofition
des nues
par
l'.1fcenfion
graduee
&
c_~mti-
uelle
des vapeur
folphureLdes