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386

REFLEXION

Je pomrois

fort

a

propos

par1er

ici

d'i.111

autre

.

éau

aílez

foníible

cominuel , dont nous

fouffrons

dcpuis long rems

&

qui paroít tres-

,iíp

a

fo

pcrpérner rant chez

rous que chez les aurres

nations:

fl

'·~rn

le plus fatal qui puiffe

jama

is

a!H ir-cr le

genre

humain;

fl~au

le

L}

plus ontraire

&

le plus pernicieux

non

[

eulern.em

:l

la

vie

&

a la

fan:é , mais m "·me

au

falut

des

l

ommes.

]

e veux parl r

des li–

queurs fpiricueL

fes,

eau.· diftillées

&

autr s

liqueLjrs

qL

elconqu s.

Si

1-ieu

permet~

it qu'il

y

eut amane

d'h

rnmes

détrnits par les

trem–

h'emens de terre ,

qu'il

y

en

a

C\

minuellement d'empoifonn 's

par

le.

liq1

eurs

fpirirn

uf< s , dom le

11011bre eíl: pour

ainf1

di

re

infini,

qpe\le

terreur, quelle

conflerna–

tÍon

1

e répandroi

nt -

ils pas par–

t

·¡r?

11ai

hébs

!

ª"

e

q11elle

in–

di.r-~rence,

avec que lle tr

nquillité

e'·

e;,

fcd_

0u

aíi t m r< .m tra

nfcam,

qui non

ri-

1

:: 1c1cm

Dcm:ni.fcc/ef.

8.

1i.

i.

13.