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REFLEXION
Je pomrois
fort
a
propos
par1er
ici
d'i.111
autre
.
éau
aílez
foníible
cominuel , dont nous
fouffrons
dcpuis long rems
&
qui paroít tres-
,iíp
[é
a
fo
pcrpérner rant chez
rous que chez les aurres
nations:
fl
'·~rn
le plus fatal qui puiffe
jama
is
a!H ir-cr le
genre
humain;
fl~au
le
L}
plus ontraire
&
le plus pernicieux
non
[
eulern.em:l
la
vie
&
a la
fan:é , mais m "·me
au
falut
des
l
ommes.
]
e veux parl r
des li–
queurs fpiricueL
fes,
eau.· diftillées
&
autr s
liqueLjrs
qL
elconqu s.
Si
1-ieu
permet~
it qu'il
y
eut amane
d'h
rnmes
détrnits par les
trem–
h'emens de terre ,
qu'il
y
en
a
C\
minuellement d'empoifonn 's
par
le.
liq1
eurs
fpirirn
uf< s , dom le
11011bre eíl: pour
ainf1
di
re
infini,
qpe\le
terreur, quelle
conflerna–
tÍon
1
e répandroi
nt -
ils pas par–
t
·¡r?
11ai
hébs
!
ª"
e
q11elle
in–
di.r-~rence,
avec que lle tr
nquillité
e'·
e;,
fcd_
0u
aíi t m r< .m tranfcam,
qui non
ri-
1
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Dcm:ni.fcc/ef.8.
1i.
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13.