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REFLEXION~
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11
.1e
faut
aupa vant
pré–
' 1e
i
~
les ob1célions de quelque•
pe
onnes judicieu(es ..
qui
pour–
roient trouver mauvai(es les moin–
dres recherd e que l'on voudroit
faire pour donner une raifon
phy–
fique
des rremblemens de .terre,
q
1i ,
n'arrivant que tres-rarement
daos ces parties feptentrionales du
monde) doivent erre regardés com–
me d'autarn:: plus furnaturels. On
do1t faire attention que le cours
ordinaire de
la nature n'eíl: pas
moins l'effet de la puilfance divi–
ne, que les événemens furnaturels
&
extraordinaires ; Dieu
fe
plait
quelquefois
a
dérar:ger l'ordre de
la
nature, pour punir l'homme de
fa
défobéiffance
&
de fes égare–
mens : ce
qu'il
ne fait que pour
le rendre plus parfait. Tout
évé–
nement lui eíl: foum ·
s ,
&
accom–
plit
fa
volomé.
Il
y
en a d'auues
au
contraire qui
font
peu de cas
<le
tremblemens de rerre, parce–
qu'
on les peut
regarder
comme
les