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r
DE
cR1Pr10Jí'l
telle auue marchandife qui
ln•
tombe en partage, qu'il en ait
be–
foin ou non.
Les Gouverneurs ne font pas les
feuls
~
piller les
lndiens
:
]es mar–
chands
&
amresEfpagnolsqui
vonc
en voyage,leur arrach
nt
hardiment
ce qu'ils jngent
~
propos, fans
Jl–
mais
donner d'autre monnoie
que
des coups ,
fi
le
propriécaire ofe
dire
un feul mor.
C,eH:
une an-
.
.
.
c1enne coumme, qu1 , pour avo1r
eré
défendue ' n'en eft pas moins
en
ufage; de forre
qu'en
bien des
endrnits, ces pauvres gens
~iílés
de
tomes pares, ne· peuvent
rten gar–
der
chez
eux'
pas
meme de
quoi
manger. Ils ne
f
ement du ma'iz ou
du bled q.t'amant
qu>il leur
en faut
pour
la
{\
bfifrance de leur
famille,
&
cachent dans des caYes la quan–
tiré dont ils prévoient avoir befoin
pour
l\mnée,
ou
le
pere
ou
b
me-
e, qui
íeul~
en
garde=1t le fecrer,
vonc
co ~1te
1
s femaines
c~1er
her
a proviíio. .