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·HisTotRE
nns GvERRE. Crv1LEs
mo ifs
tont
repreftnte par leur Requefle :
PuiJ
doncque
le
Roy
,
comnte
C
atb~
liqutJ
e1
I
ufte qu'
il
efl,
~
rendu
J.
<()o-
flre Seigneurie·'· @fa ceux defan
P~ys,
ce
qui
leur
~f:p_ar
tenoit
,
@f
qu tis
luy
ont
demande
,
en
repttrant
l
miure
-qtrils
pretendoient leur eflre
faite pa.r
Les Ordonnances;
('efl
a
rvoftre
Seigneurie
a
rendre
de
1nejin~
a
fan
RC!)'
ce
qu'e/le
luy
dait,
enfoifant toutes
les
cbofis
qui de
fa
part
luy
flront
commandees.
Paree
moyen
rvous
ne-
c
vous acquitte–
rezpM
flulement
de
rvos
deuoirs
enuers
le
R.oy,
duquel
'Vous eftes Sujet,
maid
encore enuers Dieu,
qui
par
Jes Loix,
~de
Nature,
@f
de Grace, recommande
de
rendre
a
cha–
cun le/ien; Etparti.culierementaux
R.0)
1
S
l'Obeyjfance:>far
peine
de
ne
pouuoir
eflre
fauue.
Peflz.. bien
cecy
,
ie rvous
fapplie
,puis
que <Veritablement
q;ous
eftes Noble,
&
que
'VOS
Predecejfours
C{)OtfS
ont laijif
cet
iOu{tre
Nom'
apres
/'auoirgaignfpar!es
flruice
squ'
ils
ont
rendus
a
lac
ouron–
ne
R..oyale,
tellementqu,
il rrJotts
ftroit honteux
de
le
perdre,
firvous
n'eflie'{fa& telqu'
ifs
ont
efte;
Ets'
il tV-Ous
aduenoit
d'
obflurcir
t
E
ft
lat de rvoflre
'Race,
en
degenerant
d)
eUe.
~es'il
eftcvray, comm11il lefoutcroire,qu,apresle biett
Je l'Ame,
ii
rly
en
a
point de plus precieux
que celuy
de
tElonneur'
la
perte
duquel
eft
preferable
a
ce!Je
de toute
autre
~chejfa;
VoftreSeigneurie
eftd·autant
plus
obligee
de le cherir, que
fts
Illuftres c.Anceflres
luy
en
ont
monfire
J'
exemp/e
>
telfem·ent
que
<VOUS
foriez_ <Vnt?grande breflhe
a
Jeur
honneur,
CS
au
rvoflre
,ji
<VOUS
ne
rendieza
<Voflre
J\
C!J1
ce
que
rvous
luy
deuez;
Eftant
tres-certain que celuy
qtti
manque de
Foy
enuers Dieu, ou defide
lite
enuers le
R..
l!)',
ne
perd
pa1
flulement
fa!{
eputation,
mau
ternit
encore
le /u ,.,
fire
de
fls
Predecejfaurs. l{epreflntez-rvous encore:)
cnmme
_Rrudent
que 'Vous efles, .
u'a
c.ompar1iifon de la
gran: