DE
s
E
s
p
AG
No Ls , D A N
s
LE s IND
B
s.
r9
le bien de n'Os fajets qui les
ont
peuplees,
que
pour
le
repos
de
ceux
qui
en
font
natift. ('
eft
pourquoy,
N om 'Voulons
@r
cvoa.r
mandons,que
rvQusaye~afaire,@r
ponrlueOement
executer, come/il
rvoM
e}loit commande
par
N
ous-mejine,
tout ce
qui de
noflre
patt
rvous
ft'
a enioint
par /edit Licen –
cie;
@f-que ruou.rltty donniez.. toute l'aJ!iflance@f lajaueur
qu'il
rvou-s
demandera,
pour
faire
ce que
Nrnu
luy
auons
ordonne, en telleforme
@r
maniere qu'il conuiendra
,fai–
uant
t
ordre qu'
il
en a de No
HJ;
a
quay
ie
rr/
ajfaure que·
rvot-JS ne
manqiterez.pa8.
Vous-
dotez._ croire
au/Ji,
que
ie n>
ou–
bliera.ypoint les flruices que rvou.r @r Dom Franyou
P
ifar–
re voftre Frere
m'auez. rendar
~
Les Fils, @r Les Freres
defquels
receuront
de
moy
la
gratification
qz/ifs
meriten
.
De
Venal
ce
16.
Ianuier
i646.
MOY LE ROY.
Et
plus bas
il
eil:oit efcrit ,
Par
f
expres [ommanae–
ment de
fa
Maiefle,
Fran~ois
de
Erazo.
O!!ant
a
Ia
Lettre
du
PreGdent
a
Gon~alo Pi~arre>
elle concenoit les paroles fuiuantes.
.
I L L
v s
T R E
s
E I G N
E
v
R.
I
A
~
.AN_T
toufiours creude
partir
d'icj
pluftoft
qM
te
rlay
fait,
i'ay
dijferf
a
i[)OUJ
enuoyer
la
Lettre
de
t
Empereur,
iointe
a
ceO.e-
cy;
@r ne
<VO-US
ay
point
donne
adui.r~emon~rriueeen
ce
Pays
,pource que
i'ay
creu que
ceflrott
pecher contre le rejjcfl
qui fl
doit
a
fa
e/l{aie(ie
:>
,
que de rvom rendrefan
paquet
par d'autres
mains
que
Jes
.
Cq