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~~~ches
que la
Ruffie
fit
pour le rétabliífe..J
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9·
ment de la paix. En premier lieu, la
Cour avoit gonné au Maréchal
de Mu·
nich
~
en entrant en campagne ,
un
plein pouvoir de conclure la paix en
cas qu'il trouvat I'occaíion favorable ;
on luí avoit meme donné
un
Secré–
taire du Cabinet dont
il
pouvoit fe
fervir, s'il s'agiífoit d'entrer en négo–
ciations.
Démarcbes
Les Cours
de
Petersbonrg
&
de
delaCourde
v·
·
' }
'd· ·
Ruffie
po.urtenne a vo1ent accepte a me 1at10rt
Iapaix.
de la France entre elles
&
la Porte.
En
conféquence de cela, l'Impératrice
chargea loníieur
le
Marquis de
Ville–
neuve
de
cette négociation ,
&
en–
voya le Confeiller de
la
Chancellerie
( Monfieur de Cagnoni ) .
a
Confianti·
nople , pour foutenir
Ü~s intén~ts,
con–
jointernent avec
le
Marquis
de Ville–
neuve
T
out
fe
paíloit fous
le
no
m
de
l'Ambaffadeur
de
France;
mais G:'étoit
proprement Moníieur de
Cagnoni qui
régloit toutes les affaires ,
&
qui
avoit
les pleíns pouvoirs pour conclure
la
paix.
Il
fe
trouvoit
au
camp
Turc,
lorfque IVIoníleur de Neup(lrg figna
celle de
l'Empen~ur
; il p«nefra
cotltre
tout