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Naturellement portée
a
l'indolenc~
~
a
la volupté'
elle
avoit trop q'éloi–
gn~ment
pour
ly
travail
&
tr-op
de pent@
pour
le
pl?-i4r ,
pout
fe charger
volo~
tiers de
la
moiridre affaire
ou
il fallut
une
~ertaine
contention
d'efprit. Si lél;
Cour n'avoit pas
voulu
la forcer de
~optraB:er
le mariage avec
le
Princ~·
Louis,
elle
feroit refiée ,vraifemblable–
plent
fort
tranquille. Connoiífant
le prix
~e
la
hhetté
&
le plaiíir du change-:
ment
~
e'étoit pour elle une chofe iníu¡r
portable qe s'
affujett:ir
a
un
époux.
· Leftocq , (on Chirurgien , étoit
celui
des Oínciers de
fa
maifon
qui
l'exhor-
. tbit le plus
a
fe mettre fur
le
trone.'
&
le
M?rquis
de
la
~hetardie
qui
avoit
~u
ordre de fa
Cour,
d' exciter- des trou–
bles domet1:iques
en
Ruffi.e
pour
1'
el!l–
pecher de fe meler des affai'res
du
refre
9-e
l'Eur9pe ,
n~
n:tanqua pas
d'y
tra–
vailler
avec
toute
l'affiduité
poffible.
L~ Prince~e
manquoir cl'argent"
&
il
lui
e~
falloit
beaucoup
pour fe faire
\lfl
patti.
MonGeur
de
la Chera_rdie
y
pourvut,
&
lui
en
fournit aur.ant qu'e
He
~~
voulut. Il eut fouv
ent
des
confé–
te~<;es
· fecr€tes a-ve
e
Lefiocq.}
~
lui