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s
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j
E"
JOS
le ne faurois m'
empechér
de rap-
...::·, ··-,.....
a
poner ici un
fait
aµ-ez ~ngvlier, airivé
1
'737;
~etté
campagrie
a
1'
Ai-inéé
dti ~Maréchal
de
Laf<;y :
je
le
tiéns
de
lui-m@íné
Lórf-
~ue l'Armée
érqit en marche
pour
la
Crirriéé,
les
Soldats
trouverent
un
jour
iout
pres
du camp
uné fontafrié
d'wie
eau
jaunatre
qui
a
voit
le goút un
peri
ame.r :
préífés
par
la
foif
11s
eri burent
ainG
que leurs Offiders;
mais
taus cemc
qui
avoient bú de
cette
eau,
parur~nt
µn
moinerit
ap~es
toui:
ivres
&
tóÜt
hé..
bérés.
Le
Maréchal etj.
fut
forr
alarmé,
éraigriani:
·¿e perdr,e fes troupes ávant
é¡u'eltes
e1:1ifent
vu
l'~nnemi..
Cependant:
quelq4es heures de fommeil calmere~ri
leurs
fens '
&
trariquilliferent
leur
,Gé~
né~al
i
ils en
(urerit
guittes
pour
une
diar..
rhée dé quelques
heures.
ll
fe
trciuvé
de ces forres de
fontaines
fui-
les fron..
tieres de Perfe du coté
de
KiíÍar.
Un des événeméns
le
plús
remar.:
Siege
d'Ot.;
qua
ble
aans
le
COUfS
de
l;éÍnnée
I
7
J
7
,
f~~a;~;:S:a?
fut
le Gege d'Orfchakow,
éntrepris
par
les
T ui-cs
vers la
firi
de
l'
automne.
Les Turcs
qui
pendant
l"été
ri'avóient
pu temporter le
rrioindre
ávantage·
fur
les Ruífes , fe flattoient d'aurant plus
Tome
Í J
V