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&
des parapets. Ces deux jardins -
ou redoutes n"étoient éloignés que d'une
1
737·
demi-portée de
canon
de la vi11e: ainíi
on
prévit
que
l'
ennemi ne manqueroit
pas de faire une fortie de ce
coté-la.
Le
Général Roumantzow
s'y
rendir
a
la pointe du jour, a la tete des piquets
de l'aile droite, avec quelques pieces
de
campagne: en meme temps les
pi-
quets du refie de l'Armée, les compa-
gnies de Grenadiers
&
les Cofaques
eurent
ordre
de
fe
ranger
·a
la
tete
de
leurs
camps.
Le
1
2
a
íix heures du matin les gar–
des avancées commencerent
a
engager
l'aétion avec beaucoup de bravoure de
part
&
d'autre.
Toute
l'Armée eut
or-
9re de fe mettre fous les armes : la
moitié
de chaque
Régiment
avec les
drapeaux
marcha
du
coté
de-
la
ville,
&
l'autre reíl:a au camp fous le
Princt;
de Heífe - Hombourg qui tomba
ma–
lade
k
jour meme que les Cofaques
firent les
premiers prifonniers ,
&
.-qui
ne_ guérit que le jour qu'Otfc.hakow
fut
pns.
_ Les ennemis avoient
a
Ieur droite du
coté
du
Liman
un retr:anchement'
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