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J
!::·==ª~~~~res pour faire
un fieg.e.
L'
Armée qui
d'ailleurs avoit
déja
une prodigieufe
quantité de bagages , ne
pouvoit pas
1
737·
fe .charger
de
ce.
train. Mais
faure d'in–
telligence
ou de honne volonté
de
la
pan
_du
Chef
de
la
Flotre ·, elle in'arriva
pas au
temps preíái t
a
l'embouchu re
tlu
Nieper.
Les
ex·cufes
furenr , qu'ell!€
a voit
été
arré r-ée plu i1 eurs jours par les
ve nts cont rair~s
&
les
·temperes,
&
que
le N
i epe r ferrouvant
e'xtremement
bas
aux
ca-raraB.es,
i-l
avoit fallu
employer
pluíieurs
jours
po·ur paifer les bátimens.
En forre que
M-oníiet1 r
.dé
Munich arri–
vant
devant Otfchakow ,
ao lieu
d'y
1
T' l
'
l
rencontrer a
.r
10tte , trouva
-q~1
1.
man•
quoit de tont
pou
0
r
entre prendre
C.€
- 1iege :
a
h1
it
heues
a
-1'
emour
il
1{y
·a voit ni bois pour
bruler .,
ni
hniífons
pour
fair e des .
fa1"cines ,
ni
pat-urag~
, p our les chev
aux ,
1es ern emís a
yant
tout
brúlé
, -comme
i·e
l'ai
déja
marqué-o
Qu211 t a l:IX
chevaux , le G énéra l
prilt
~le partí de les e n
v
oye r ·
j ,)indre les
gros
-éq u-~pages; ma1s
la
plus
g_ande
d1ffi-–
c ulté é toit pa r
rap porr au bois
&
arux
-chofes
néceffaire s
nour
ie--
fiege ,
aüe
la
F
1
1
lotte a voit
a
borde
Nloníieur de Mu-