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R.
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s
-~
----- Ma1tre de
la
Cour de la Ducheífe
de
-1
73º·
Courlande . Il
fut
gagner fes bonnes
graces,
& fut
placé
a
cette Cour com–
me Gentilhomme de la Chambre.
A peine eut - il pris pied , qu'il tra–
vailla
a
la ruine de fon bienfaicteur ;
il
y
réu{fü
{i
bien, que la Grande-Du–
cheífe non-feu lement le renvoya de
fa
Cour, rn a~s le pe rfécuca meme
autanr
qu'e ll e
pur;
&
envoya
expres
MonGeur
. de Ko rff
a
Mofcow pour plaider con–
tre lui.
MonGeur
Bieren étc=tnt fort
bien
fiú
de
fa
perfonne '
il
fut
biento t
g~gner
les
bont1es
graces de la Ducheífe , qui
trouva tant de
gout
dans
fon-
com–
merce ·, qu'elle en
fü
bientot fon con..–
fident.
La Nobl
eífe Courlandoife con~ut
une
grande
jalou.Gecontre ce nouveau
favori. Quelques - uns _la pouffoient
ft
loin , qu'i s
lui
che rchoient
querelle ,
&
com.1."Ile
il
lui
falloit un
fo utjen
parmi
la
obleúe ,
il cherc ha
l'-alli -
nce de
quelque
anci en
e
famille .
Il
eut
plu–
í-c rs r fus. Enhn il per(uada fvfad e–
rn oifel e d ·Treiden ,
1tle
d
onneur
d-..
la
cheif~ , qu'il . 'po
1
a avan t