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pat I'intrigue
1
et les sollicitations de
C€S
pro–
tecteurs si betes pout ces proteges
~i
bas. Aussi,
l'empreinte de nos especes est mauvaise, parce
que les graveun les plus mediocres ont ete
employes.
Viennent eusuite les fautes des ajusteurs
qui, afin d'accelerer Ieur travail, se servent de
trop grosses limes pour rapprocher Jes pieces au '
poids voulu par la loi; ce qui est une cause de
l'imperfection de nos monnoies : car
'le
balan–
cier ne peut pas vaincre les sillogs qu'a traces
la lime.
L'ignorance des monnoyet1rs ajoute encore
aux vices de ces empreii-1tes; car le ridicule
droit @xclusif de pouvoir,travailler ne donne ni
l'art ni k gout.
Que dirai-je du sujet de nos empreintes? D'im
cc5te
la tete du prince,
<le
l'autre des :fleurs-de–
lys ; ensuite des legen<des clans la langue des
Romains
!
Nous Franc:;:ois, nous ne nous s@rvo.ras
.pas de F.1.0tre langue pour
nO?
mozrnoies
!
Nous
Franc:;:ois , nous ne savons mettre sur nos mon–
noies que trois :fleurs-de-lys , une· Gotironne
~t
des branches d'arbre
!
Nous avons
open~
une
glorieuse revolution' et nous ne saurians pas
faire une monnoie nationale
!
J'ouvre nos savans monetaires, et je vois que
F
:z.