c.
63)
-que c;et office
de
directeur-genel!:al,
une fois.s111-
b!~,
celui qui en
s~roit
revetu, st'occuperoit
pha
serieusement d'ameliorer
cettc:
administration.
Ces
premiers apper<;us
repapdire~t
un
plus
grand
jot~r
.sur !'importance
d.c
la partie
m.one–
taire. On entrevit ses liaisons avec le co-m–
merce, et le directeur - genthal des
monnoi~
devirit membre du conseil rnyal des
finances~
du commerce pour y etre: appele, des
qu"il
s'agiroit de questions de monnoies.
·
On
.A.e
tarda pas
a
eprouver quelque
bien <le
cette innovation; mais, cprrime toujours
les in–
ten~ts
particuliers sont errc:ontradiction avec
le
bien general, et que pans l'ancien regime.,
•e
bien general etoit constnmment sacri6e au
'bi~a
particulier,
a
la mort de
M.
Guyon, la
fameuse
madame de Pompadour
6t
supprimer la charge
dei directeur general , pour donner plus de
lu~tre et plus d'emolumens
a
celle de
tresorier-g~
-
neral, qu'avoit le sieur Deschamps son
p~-0tege,
qu'elle
m'osoit
pas faire directeur - general,
parce qu'alors le prrejuge s'opposoit
a
ce qu'un
€nfant natutel obtint le poste eminent auquel
rauroit
appele son genie.
Depuis l"epoqtie de cette suppres•ion, une
qoute d'ignorance et d'avarice a tellemenr
r~couvert le£
prin~ipes
).ov'ariables de
la
doctrine