,( 54 }
·desastreuse qu'a causee l'ineptie
.de
notre minis•
tere, tel
?-
touj our.s
ete
notre_frat_ de situation.
Eh!
qui peut douter que notre richesse
me~
tallique ne depende de not:re industrie? C'est
lJn veritable axiome qble les
tichesses des mines
sont moin.s pour Leurs proprihaires que pour
~eux
Huitieme
qui ant &e L'industrie, de !'o;-dre, de La prudence
prindpe
et d.e !'activid.
corollaire.
En llll mot, ne manquant jamais de matieres,
nous en
fahr~queri?ns
, en raison
du
besoin ;
et ce besoin est facile
a
calculer' car c'est encore
un axiome que
la' quantiti d'argent necessaire au
Neuvieme
commerce
,
ne se mesure que
p.arLa vivacite de sa
principe
circrtlatio11-
(I) ,
et
comt[ie
iL
est constant que trop
corollaire.
de num fraire produit l'effet d'en laisser une partie
Dixieme
principe
dans l'inaction, tandis qzte Jrop, peu de num.i.raire
corollaire.
engourdit
L'
agriculture, Les arts
et.
Le commerce
(.2),
On?ieme
et
hausse Le ,t:i,u ' de L
'i.nd.dt; comme iL est con.s–
pri ncipe
tar.t que La 1:arete des
esp~ces
cause une i"nqud–
corollaire.
tude qui_fait -resserrer Le numeraire et augmente,
Douzie1ne
d'
;
·
·
"l
principe
atttant
cet~e
rarue,
011
pourro1t . croire qu l •
00rollaire.
imp9rte pour le bien
d~
toiis , que la nation
ait seule le droit de_ ln·vente de l'or et de l'ar-
(1)
Voyez
Lo.eke, sur Jes rentes et
l'augmentation
de la
va!e~r
des
especes.
(2)
Locke>
ibid.