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de la rnrete de l'or; elles seront plut&t une
tnarchal1dise ou'une monnoie ; et l'empreinte
£ervira arendre authentique·ta verite du titre et
cite poi<ls' et non a as urer la vale~1r fixe et inva..
riable de l'es pece: L'argenr peut done devenir et
etre appeLimonnoie constitutionnelte, tandis que l'or
et le 1>uivre ne donneront qu'une monnoie qu'on
peut appeler signe -( r) ou additionnel.
Il est possible enfin d'rmaginer tel signe·
monetaire qui' sans rertfermer une valeur varia·
hle, une valeur infrinseque , inherente asa ina·
tiere, <iura , au contraire, une valeut fixe, im..
muabl~, et reellement adhfrente au moyen dtt
gage eocterieurqui lui sera hypotheque. Et voila
comment le papier peut devenir un~ monnoie,
si on lui donne pour st1rete une hypotheque ter–
ritoriale.
De. ld, nait un troisieme principe.
La monnoie est non-seulement .une mesure, elle T · ·•
, / r~1s1~,me
est encore un gage, une surete, pnn c~pe
P b .
. . 1 . , 1
. corollaire.
ar une isarerte smgu 1ere, es auteurs se sont
attaches aconsiderer la 0101rnoie dans sa forme,
sa matiere, son empreinte, sa valeur, son titre,
et son poids; et croyant avoir tout- dit, ils ont
oublie de'rapprocher ce qu'ils avoient jete d'une
(1) Garraut, page 1:z.
Tome V.