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<%t celle de savoir si le
grand-homm~
q1.1e
nous avons perdu, sera soumis
a
!'examen
que
le departement reclame. Ep. calculant les
effets des passions humaines, peut-etre croira–
t'-on que cet examen lui-meme ne devra point
etre
fait
par le corps legislatif; en consequence
je demande le
renvoi @le
l'arrete du depar–
tement au comite de constitution.
On demanda la questi0n prealable sur le
renvoi.
M. Robertspierre, quant
a
l'objet qui re–
_garde M. Mirabeau, je pcmse qu'il n'ctppartient
a
personne d'en con!e9ter la justice. Ce n'est
pas au moment ou l'on entend de toutes parts
les regrets qu'excite la perte de cet homme
illustre qui' clans les epoques les plus critiques,
a deploye tant de courage contre le despotisme,
que l'on pourroit s'opposer
a
ce qu'il lui fftt
decerne des marques d'honneur. J'appuie de
tout mon pouvoir, ou plutot de toute ma
sensibilite, cette proposition. Quant au second
objet de la petition du departement , il me
paroitlie aux interets de
la
liberte et de la patrie
etj'en
demande aussi le renvoi au comite de
constitution.
M. Barnave.
''
Les objets divers dont
dn
nous occi.tpe 'eJ.oignent le veritable point de la
deliberation pose par M. Robertsp!erre. Nous
ne pouvons point nous occuper en ce mo-;
.
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