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t-ierrt chacune dans les limites que le drnit pufi–

:tique a posees; il atrete ou repousse le bra$

_ sanguinaire des princes qHe tourrµente l'ainour

d'une fausse gloire; il aigu.ise 1'indHsitrie, il fe–

-<i:Onde la richesse,

il

1

cef.l.tupl.e le travail;

ave~

ce signe , les forces

~

le tems , les lieux, le

nombre, tout se comp.e11se.

~ \

-

Attcade~

d.e

la saine

doctTi.ne-

monetaire

utt

bien d'une plus grande importance, iorsqti'unie

a

la

lib-er-te'

ce doublre ilambeau eclairera tout

es

les nadons sur Ieurs v.&itables intercts; alors

elles reconnoitronda possibi1ite

d\me

monnoie

univer~elle

et commune, qui ne depenclra ni

de

la

fecondite des mines., ni

de

l'avarice , ni

du

-caprice cl._e

I

curs possesseurs: alors

ia

confqter-·

nite, trop oub1iee de respece humaine' s'entre–

lacera par une circulati,on plus

am"i~ble

et

pi-us

.active dans

1

tous les

rctpports

politiques et com–

merciaux.

A

lors on pou;·ra dire

de

la doctrine_.

~onetaire,

ce que l'orat-?ur

de

Rome disoit

de

fa

loi : "

elle est zme, elte est universelle

;

elle

"'' est la meme pour Rome et pour Athenes; il

4<

n'y a rien

a

y ajouter' rien

a

y retranche1·' elle

»

n'a besoin d'aucun commentaire·.

»

Puissions–

nous voir ·cette heureuse epoque

!

et s'il faut

un exemple·, que ce soit l'empire des franc;ois

.q.ui

lie donne

!

_c

4