D'
E LA C 0 N
S·T
IT UT I 0
:~r
MONET
AIRE.
Mi:SSIEURS,,'
Je vais exposer
la
DOCTRINE-MONETAIRE'
~clle
que je l'ai conc;ue:
_,. Cett'E! matiere est extremement importante.
Non-seul@ment
ta
theorie
de
l'art mo.netaire
e-st 'lrne des
pr<::mieres flases
de Ia
scienc·e
~es
finances
?
ce ressort principal de
Ia
prosperite
des empires; mais elie a des rapports intim.es
avec Ja politique de toutes les nations qui
semblent unies par ce lien commun,
pour
~on
trer que les peuplades cparses sur
le
globe ne
peuvent jamais cesser d'etre une
f'amille
de
freres
destines
;'r
s'entraj:mcr'
a
s'a.ide;
mutuel–
hment (lans Ia·
jouissa nc~
des droiis impres- .
criptible<; <le leur nature. ' ··
·:
.~
Une rqonnoie loyale est
le signe
de
tel:lt
ce '
bLla Dveri–
-
.·
-
.
ta
e
c>c-–
qu1 peut se
vendre ;
ma1s tout ce
qm
p~ut
'se
tnne _
mO'-
vendre ne croit pas' n'est pal> produit atn:memes
ne taireun it
1 .
.
.
.
cl
to,.tes.
l~
i~ux.
D ans les adn11rablas
combrna1sons
e
son
Nauu
1
;s.
~ysteme, 'l'aut~1:r
d€
to~it
C€
qui existe
a per- ·
c
3