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s_ur
us
.co.nsommations,
lui
hoierzt on/reuses;
elli: der'naiidoit
a
rz'!tre point distingules des autres
vil'les
pour
ses
droits
d'ent~ees.
Elle
annon~a
qu'e
k;s hlsoirls de la commune de Paris
,
causes
par !es tlettes que la
revolution
lui
izvoit fait
contrader
'
et
par le difaat de paiement de ses
cdaizces sur le gouvernemellt
'
la fort;oient de de-·
maizJer uh a-compte de six millions.
mrnABEAU :
<~
11 est des pertes immenses
que
la' ville de Paris a .regai·dees comme des
bienfairs ; elle avoit un privilege ,. celui
pe
par.tidper
a
des professions qui l'enrichissoient .
eri ie corrompant ' et elle tient
a
honneur
de n'avoir desormais d'autres richesses que
celfes de son indtts trie. L'egalite- qu'elle re–
dame
cfans les impots n.,est done qu'une preuve
de plus de
son patriotisme ; ell€ ne veut .
pas
pay~·r
davantage, parce qu'eUe a renonce
a.
totis les abus
<llui
lui avoient fourni !es
mo
yens. Ne soyez point effrayes dl:l poids
de
VOS
peines ; c'est une avance faite
a
la
·liberte ; vous avez sethe sur un.e terre
fe–
conde ' elle vous restituera tous
l~s
. tresbrs.
que
VO.UShii avez connes. Une seule source'
de prosperite marique encore
a
cette capitale '
c'est l'union de · ses citoyens ·, c'est la. tra.n–
quillite
pi1bliqi.1e '
qi1e de finisses
aiarmes
z
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