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jection tiree de la
ne~essite
des peines. Cette .
objection , d'ailleurs poussee trop loin, seroit
commune
f!UJ(:
traites ; et faut -
il
done aus'si
renoncer aux produirs' dt:s traites
?
Il
est evi–
dent que, par une contraveption tout·a-la-fois
moirts frequente , rnoins facile et moins nui–
sible , les simples amendes , payables avec
- contrainte par corps , suffiront.
»
«
Enfin , n'oublions jamais le r.oint
~'oh
nous somqies panis clans cette discussion, c'est
que le cornice avoue gu'il a besoin d'un iqip@t
sur
le tabac. Si, pour dis cuter cette assurio.Q,
il etoit encore tems de refondre tous les rlans
clu comite , et de i-emontef
~
d'a\1treS:
prin–
cipes,
peut·e~re
et probabkment
n~ ~erois-je
pas de son avis ; et certes , il
n'y
<\
q\te
la
ne~essite
la mieux demontree qqi
puiss~
jus–
tifier la prohibition de tel comr:nerce et de
telle culture. Mais je n'ai ete appelle
a
~a.rtir
que.., des bases du
q>mit~.
Qt\'il
de~lar~
que
la
situation de nos
fin~nces
nous
per\11,e~
de
nous passer de
~es
i
o milli9ns ,
p.ro ~en.ai:is ,
~e
la consom\l}ation du tabacy
~ q~'il <;l~crla~e .
sur -
ro,1t que tous les autres im,ro\s
s~ro1,1t
plus cquitabJes , et tO\lt
poiem\q~te en~~e
llO\IS
cessera. Je ne craindrai plus alors
qu~\
ia cul·
ture soit libre ,
chant
bien assure qu'e
~Fs.c;nie