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~1(!))
manque que1ques chances pour executer'
~~us
les beaux nems de
liherte , des projets
qui
h '
·1
I
'd 1
I
nous sent cac es, ont-1 s espere e es
tra11vietr
dans une grande agita,ion peptilaire ; et ce
combat de l'intrigue et de l'arnbirion contre
le parrietisme genereux et credule ' est
san~
deute aussi une guerre,
Enfln, ne d0it-on p&s regarder com01e une
des
causes des allarmes populaires , cette
defiance exageree
q.uidepuis long-tems agite
tous les esprits ' qui retarde le moment de
la
paix, aigrit les rnaux et devient une source
d'anarchie, quand. elle ne cesse .ti'etre utile
~
la liberti
?
N,ou~
craignons des •ennemis au
dehors , et nous oubliens celui qui ravage
l'interieur du reyatJme. Presque par-t0ut,
le~
fonctiennaires publics , choisis par le peuple,
senta. leur poste; ses dreits
~ont
done exerces
i
ii
Jui
reste
a
remplir ses devoirs. Qu'en
surveillant ses mandatalres, ii les honore de
sa confiance , et que la force turbulente de
la multitude cede
a
la puissance plus calme
de la lei. Alers ,
iusqu'au
signal dit daoger,
denne par le
fo~ctieanaire publi~,
le
~iteyen
dira :
!'on.veille pour moi ;
car ce n'est
poin~
l~ ~~rit~ble liP.~rte ~ui ~
qe
yai11es rerreui:s '
f!lJ~