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( 31S)

tit\

peup1e

an·gtois ;

rrtais cette potiriqtte

est

lf

basse ,

qu'on ne pe'Ut

l'impt1Jer

qu'a

un· en•

nemi de l'humanite ' si: ettoite ' qn,elle ne peut

convenir

qu'a

des

homme"i

treS-vtrlgaires ,

et

si cO'nn'ue , que'

de

nos

)onrs eHe est

peu re·

doutable.

Franc;ois

!

etendei done

VOS

tegards

au~d·ela

.<ie vos frontieres ,

votrs

n'y

t~ouverez

que

des

voisins

qui

ont

besoin· de la

paix

comme

nous,

et

non

cl~

ennemis;

vous

y

trou

verez des hommes

q\le, pout Gles · gl'lerres

injus~es

, on n·e me·

nera

p,lus

aussi facilerrtent aux cornbats ; cl'es

citoyens

qni,

moi.ns

libres

que

rrous,

regar·d·ent.

eri

seCf'et

les

succes

de

notre revolution

corfirrte

une

espetance

qni le'i._!r est

commnne'.

De-ta

parcoutez.

l'~tend'ue

de cet

~empin

, et si

vol.l'S'

liivez la

defiance du

zele,

ayez

anssi le- respect'

de

"i'OS

pto-pres forces'. On vous

dit

que·

vot1SI

n'avez

p1(1s

d'armee,

fots<'.fllle tons

vos

5_iroyens

soM

soidats; q\tte VOl(s

n'avez

plus

d,o'l/ ,

er

a11

moinctre

peril ,

le·s

fortunes particnlie.res

(ormeroie'~t

la

fortu'n'e

pubtit{tte· ; ·

qu"uire'

guerre

peut

noublet yotre

c'Onstitutt<:>n ,.

<:'omme si les

ten:tes d'un

camp n-e

d'ev:ien"'

dtoient pas aussi-tot

un

asyle

potir

les legis–

lcHeurs

d,e

ce

peuple,

qui

fit ses

premiere$

loix

dans le

Champ-de-Mars.

Eh

!

quel ryran irr-