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glois ,
~!s
6nt applaudi
a
notre Hberte
m~m~,
parce qtt'ils serttcnt birn que tom Jes pt>up\es
libres forrn ent entr'eux une societe
d'as~u'rance contre
1e:s
tyrans
~
je ne ta;rai pas que ;
du
sein de cette natio li si respectable chez elle;
1
sortiroit une voix terrible contte des ministr ?s
qui oseroient d1.riger contre nous une croisade
f'etoce ; pour attefirer
a
notre constitutic n :
oui ,
Gitt
sein
de
cette terre classique de la
11-
bette , so1'tiroit
un
vokan pour
~ngloutir
la
factiort cottpable
qui
auroit voulu essayer sttr
no :s
l'
dft fon este d'asservir Jes peuples ' et
de l ur
r endte Jes fers qu'ils ortt brises. Les
ministres
n-e
me
pr
iserotit pas cette opinion
ptt–
bl~qtte,
dont on
fait
µrn ihs de bruit en
An-
.t;leretre , mais q ni est aussi forte
et phts
con~tante qtte p<1rmi rtot1s. Ce n'est dotic pas une
glletre ouverte que je ctains : Jes embarras
·cle
leurs fi nances, l'ha bilete de leurs ministt es ,
la gene rosite
d~
la nation' les hommes
eclai–
h~s
qt1'ell e posse<le ert
grc1t1d
nombre,
me ra5-
sutent contre des erHreprises ditectes
~
mais
des mand:luvtes sourdcs , des moyem sectets
pout' exciter la desun:on, pour balancer
l~s
partis , p(}ui'
1es
dCj o u~r
l' un pat i'autte. ,
pour
s'oppbser
a
Mtt'e ptosperite ; voila ee
qll~oB
pthtfNit tedth1tet
d~ quelque~ politiqu~s