,
.e
~H)
~ei.iVenf
c61kilier ce qu'dn
do~t ~
la crJduiite
I
a
ljigf1t>rance
m~me
' et
a
la ptudertce,
Pout tin peuple immense ; encore
~gite
des
lhbtf
vemens d'urle grande revolution ; pout
lte tfouveaux citoyens qtte le premier eveil
tlu
patriotisme
urtit
aux trtemes pensees
clans
fotltes Jes
parti~s
de l'e1npire , qui , lies pat les
tn~mes
sermens, sentinelles les uns des autres
~
te,
aommuniquent rapidement toutes leurs es–
perances et routes leurs craintes ,
Ia
seule exig.
te&6e des allarmes est un p6ril; et lorsque
~e
simples mesures de precaution soot eapables
de ies faire cesser , l'inerrie des reptesentans
lll~tln
peuple valeureux serdit
un
crime.
<
. S\l
ne
s'agissoit que de raSSttrer ies
Ftan.1
~ois
,
fl<;)u§
leur dirions
!
ayez plus de
cort=–
fiari ce
Claris vbi\s-men\es et
daris
l;interet
de
H~s
-Voisifis.
Sm'
quelle coritree
pdrtent
vos
a\larmes
?
La
cottr de Turiri ne satfifiera poirlt
\irle
ttti1e
alliance
~
des haines
oil
domestiqtles
ob
~ttanf;er'es1
Elle
ne separera poiht
Sa
~dtiriqtte
fie sa jl6sit!oii
~
et
1es
ptojets
d'urt~
lnhigue
~~h8lier'diH
cbritre sa
sag~sse.
b
.~uisse
Iibre ,
ta
SL1isse fidelle au:it
tta.~te~ ~
~t
pres&Ue
frah~ois~,
fie
fbttrrl~ra
Bl
de~
armes,
nl
~is
saldat§
Ui.l
~e§p6tiiilte
tih'elle
~ uirtass~
1