{
~07
)
et rar'I\ene
a
ta-.
qhestion·
pi!in~~~t-@~~ ~enda111t
ces intetruptions ,
M.
l'«bbe Maury
s~~f.io.i~
:
l'a'i'ssez-
ten'd'te
ce
d~eie'f,
m!lus
en
aV:atts
be·
:£ain ; enCQl'e deux ou
trois
aornme<oela:
f"
et
tot'l.t
sera'
fini.
".\.
Mt-RABEAU.
~'
Je
rt\1i
pas
deAf~hde
la
pa.;
r0le pour lutter , soit ·
<fe
chafe~f~
,
soit de
declamati~n, ~oit
d'e!Oquence;
je·:parle
dans
re
us
Jes
systemes ,
pour lutter
dis-je .,
avec
le pteopinant {
M.
Ca-zal'es ) ; car
quelque
talent qu'il ait
rn<;>ntre
dans s-es nombteux
episodes' its sont inutiles , soit
~
la chose
publique' soit
a
la tranquillite' ' atf nom de .
laquell'e ii a
pa:rle.
On
n'a
pas e.spere
saris
d0ute
qu'en
montrant un seul aspect de
la
question ,
on
vot~s
'fer6if revenir
si1r un
de..
cret. Assu:tenent ce n'est pas sous un seul
asFeGt ,
qµ'il
faut envisager !a situation du
royaume. Il seroit &ise de ptouver que
l'af·
frenx
tableau'
qu~on
a pris plaisir
a
tracer '
~eroit
plutot
realise par tine
mesl.tre
retro–
g.rade
;_' cat
ennn ,
M,
Cazales n'ignore pas
que ses opinions ont aussi
raretn12rtt
fa
ma-..
io!"ite
clans la nation que clans I'assemblee
),~
(De nombreux applaudissemens s'elevent ).
M.
DuvaJ. '
rut
d'
Epr.bn;.sn~L\ As~em~le~
VOS
v
l.