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ehacl!m seroit de la religion, qu,.autant que cha–
c~m
seroit d·e Ia sieirne; c'est-a-dire, qu'au–
t<tnt
qu'il
SHi¥roi~
encore cette nligion
uni–
~ersetle,
quand te gen;re humain viendroit
a.
f'aoj,ur~r. (Le~ applau~isse;mens
recommei:i.- ·
1
cent")
n.
·
·
~
Ainsi
>
de quelque maRiere que. ron' en–
vi,age blne religion, Ia dire
nationale,
c'est
Jui
attribuer une denomination insignifiante·
ou.
ridicule»~
" Seroit-ce comme
juge
de 'sa: verite,
Otl
comme
jwge
de son aptitude
a
former de
hons.
citoyens, que le legistateur rendroit uroe 'reli·
g,lon
eonstitutimznetle?
Mais d'abord
y
a-t-if
des verites
ndtionales?
En second 1-ieu, peut-if
jamais etre Utile au 'bonheur public G,_Ue
la
fWn~ience
des hornmes soit enchainee par ]a
Joi
de
l'etat
?
La
loi ne
no~1s
unit Ies uns aux
orntres
que
dans les point's .
Oll
nous nous
ton–
cho-ns. Or, !es ho.mmes
n~
se tcmchent que par
la
s11perficie de
1-eur etre;
par la 'pensee et
fa
' coHscience, ifs demeurent isoles, et l:associa–
tion feur la.isse'
a
cet egard' l'existence ab–
solne
de la
nature
», (
Les appl'audisseroens
/
cotltinuent ).