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( 266 ) •

ehacl!m seroit de la religion, qu,.autant que cha–

c~m

seroit d·e Ia sieirne; c'est-a-dire, qu'au–

t<tnt

qu'il

SHi¥roi~

encore cette nligion

uni–

~ersetle,

quand te gen;re humain viendroit

a.

f'aoj,ur~r. (Le~ applau~isse;mens

recommei:i.- ·

1

cent")

n.

·

·

~

Ainsi

>

de quelque maRiere que. ron' en–

vi,age blne religion, Ia dire

nationale,

c'est

Jui

attribuer une denomination insignifiante·

ou.

ridicule»~

" Seroit-ce comme

juge

de 'sa: verite,

Otl

comme

jwge

de son aptitude

a

former de

hons.

citoyens, que le legistateur rendroit uroe 'reli·

g,lon

eonstitutimznetle?

Mais d'abord

y

a-t-if

des verites

ndtionales?

En second 1-ieu, peut-if

jamais etre Utile au 'bonheur public G,_Ue

la

fWn~ience

des hornmes soit enchainee par ]a

Joi

de

l'etat

?

La

loi ne

no~1s

unit Ies uns aux

orntres

que

dans les point's .

Oll

nous nous

ton–

cho-ns. Or, !es ho.mmes

n~

se tcmchent que par

la

s11perficie de

1-eur etre;

par la 'pensee et

fa

' coHscience, ifs demeurent isoles, et l:associa–

tion feur la.isse'

a

cet egard' l'existence ab–

solne

de la

nature

», (

Les appl'audisseroens

/

cotltinuent ).