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parallele la necessit€, ma.is la necessit€ est"le
~ri
de ralliement de$ brigands. Je 'ne puis
m'empecher de :temoigner que c'est un grand
scandale pour la nation et pour l'Europe ,
qu'apres trois decrets prodames da11s la situa–
tion la phis importante, <lans les circo1?-stances
.~es
plus critiq.ues, on ose remettre en ques–
tion une semblable motion, clans un moment
011
tout est calme, oil les finances presentent
c!es simptomes de prosperite (on applatidit) ;
<lans un moment oh le credit renait, ou l'argent
haisse,
011
la plus simple industrie d'un minlstre
<les finances pent decharger la nation des interets
onereux qu'elle paye ; c'.est en ce moment
qti'on propose de r<amettre en question un
objet sur lequel v0tre justice a prononce :
quand les efforts des ennemjs de la liberte
se multiplioient, quand I.a prevarication vous
entouroit , q.uand les tenelores des foaances
s'epaississoient en.core , vous avez 'porte le
fJ.amheau clans ces
teneb'res , et
l'obscurit6
.
s'es~
dissipee, et vous delibereriez 111aintenant ·
sur une telle proposition
!
J
e la livre
a
tout
le mepris qu'elle, mfrite. (on applaudit'
et
0.lil
clemanda
a
aller aux
VOiX~)
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M.'
iawnue s'elevtt contre
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ABE All.
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presema un projet de
de~ret
dont l'ebjet
itoit.:
d'impose'r. toutts Les.
pent.es sur L'Etat.
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