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( 203 )

part etoit

a

mes yeux plus qu'une faute. Voila

ce

fait

éclairci; et M. de la Fayette peut en

certifier tous les détails, qui lui sont tous par-

, faitement connus.

Qu'a

présent celui qui osera,

je ne

dirai pas m'en

faire

un

crimc,

mais me

refuser son approbation; celui qui osera sou–

tenir que le conseil que je donnois n'étoit pas

conforme

a

mes devoirs ' utile

a

la chose pu–

blique

et

fait

pour m'honorer; que celui-Ia

se leve et m'accuse. Mon opinion, sans doute,

lui est indiíférente,

mais

je dédare que je ne

puis

me

d~frndre

pour

)ui du plus

profond

m€pris

»

~~

Ainsi disparoissent ces inculpations atroces:

ces calomnies effrénées qui p!ac;oient au nc:n–

bre

des conspirateurs les

plus dangereux, au

nombre

des criminels les plus

exécrables, un

homme qui a la conscience d'avoir toujours

voulu

etre

utile

u

son

pays,

et de ne lui avoir

· pas

été

touj ours inutile. (

U

ne grande

p~rtie

de

l'assemblée et des

spectatcurs applaudissent.)

Ainsi s'évanouit ce secret si tard découvert,

qu'un tribunal , au moment de terminer sa

carriere , est venu vous dévoiler avec tant de

certitude et de complaisance. Quimporte

a

pré–

sent que je discute ou je dédaigne cette foulede

oui - dires contradictoires , de fables absur–

des, de rapprochemens

insidieux, que ren-