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tion par la naturc ele son
comm~rce
et
de ses
richesses'
a
venir appuyer l'étrange propo–
sition qui vou'"' cst faite. Dans leur impru–
c1ence
ils n'ont pas voulu voir notrc
sü¿;-e
réserve, et nous ont accusés de payer les
appL !dissemens des
tribuncs ; expressicns
ratuitement
insolentes
( on ª.??laudit ).
e~
n'est pas
el
eux
a
venir
élever
contre
nous
des maximes destructives de la constitution?
dont no
is
avons aussi posé quelques bases ..
Q~1'!
ls croient que le feu sacré de la cons–
titution est aussi bien dans nos foiblcs ma· ns
que dans leurs mains si pures.)
«
M.
Virieu
ra
1
)pelle l'opinant
a
la question.)
~•
M. le pr ' -
sident, je suis fiché qu'on
'appEr<;oive si
tard de la suite inévitable
d'une
motion aussi
im?rudente; moi, je consens, p"r
confi2nce
<laüs la cause que je défonds; je conscns a
finir
en
assurant nos adversaires que nous
savons qu'il est également compris dans
notre
err:ient de défendre la constitution
c0ntre
ses
cnncmis cachés, et contre
ses
faux et insidie!.n:
am1<>. H
On ferm
la discussion,
et
apr""s de longs
<lébat
sur Ja p iorité des
mot~ons,
le d
'cr
t
s
üvant fut aJopté par· appel nominal..