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( 176 )

st-cc [ cet

oracle

pur

d

l'opinjon

publique

qui d -voit

nous

s r ir

de

gu~

..l

?

'1.:

pas

plu

>t

h

v

ix

d

1

'!?ui

1

~e

d'un

égo1 me a

tu–

ci ux, ,u"il nous sufüt de reconnoitre

pour

le

r ·pous

er.

H

,, Et

voulcz-vous,

mes ieurs, savoir les moti

de ces clameurs me_·cantilles, de

C:'S

ré!rnl–

sions

finan

i '

r s, qu'il

a

été

si aisé d'c. ·cit r

contrc les

a sionats. Sond z les intérets

d'un

certain

ordre de

commers:ans; appr

nez

qu b

sont l(ls

calculs

des

fonrnisscurs

d'argent

et

de

cr 'dit. Les

tTI'mu

-actures

sont

toutes tri–

butaires des uns ou des autres. Les uns, soit

<¡ne voués au commerce

de commission,

ils

fassent des fonds au.' fabricans sur les mar–

chancliscs

qu'iL

leur

fournissent;

soit

qu'a<l-–

donnés

¡L

la

b~rnque,

ils se chargent

d'acquitter

leurs engagemens; tous mettent un

prix

úe

6 pour

IOO

a

leurs a ·anees; les autres rich

,S

.,

.

.

,

'

commenaataires,

portcnt

JUsqu

a

I

o

pour

1

oo

et

au-dela,

l'intéret

de leurs

apitaux , Or,

créons

des capitaux

en

~oocnrrence

;

'lar

gis sons, faciL 1ol1s

la Ye ie d s emprunts

t

du crédit; (.lb ( is-; on

p ~

r-ld mcme le

t

llX

de

l'intérer :

n' en t end z-v

tt::>

p~ ~

crier au sito

e ·

comm·ssionna·

n:s

,

ce

b,

nquier

, ce

capit ·tli