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(

172 )

· e liq

tic

tion,

et

le revcnu

d'une

rnasse

de

hiens n

tion ~

ux

équ.iv~

lcns

au

capital ele e

quittances . Nous pouvons les diminuer

encore

<le

la di

'f~rence

entre l'int

I

ret de la somme

d~s

quittances qu'on voudroit d.onner en rem–

bo 1rsement des divers offices., et celui que

per<;oivent aujourd'hui divers titulaires. En

!assemblant ces deux objets, dont l'évaluation

dépend du rapport entre ces différens intérets,

0.!1

peut assurer

a

la nation pendant

plusieurs

années une grande épargne,

~i

l'on acquitte

par des ¡tSsignats la dette actuellement échue.

Il est encore bien d'autres épargnes qui serqicnt

le fruit de cetre mesure.

~~

"Or

rnessieurs, si le parti des assignats

présente, en général, tant

d~d.vantages;

et si

nous pouvons les regarder comme un titre

d\me solidité si parfaite qu'on ne doive point

en craindre l'altération ; vous sentez quel

poids

y

ajoute le soulagement qu'ils apportent

élll

fardeau des subsides; vous sentez

meme

~nel

accueil cette économie

peut

valoir

a

la

· mesure des assignats, et comment le public

era disposé

a

favoriser leur succes par ]a

confiance; vous sen tez cambien votre systeme

g 'nér

1

d'impót, trouvcra plus de

facilit'