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( 170 )

ui ont

'té

présenté.), entre l'assignat-monn

1

et

1

CJlLÍtrances

de finan ce, soit contrat m

reconnoissances, pour le paiement

de

la dette.

Je m'élcve, dis-je,

contre cette association,

comme

n'ajoutant rien

a

la coafiance

due

au -

assignats, comme comp1iquant

la

mesure,

comme prodiguant

des

intérets

inutiles ,

comme ouvrant la porte

a

des spéculations

dont les suites peuvent etre pernicieuses.

Et

quant

a

l'option laissée aux créanciers'

dans

quelques projets ,. entre les assignats et les

obligations territoriales, pourquoi cette option

a-t-elle été imaginée? C'est en comptant,

dit-on , sur la préférence

qui

sera

donnée

aux

assignats.

Je demande, messieurs, si une

aussi puérile combinaison est digne de

cctte

asscmblée.

H

H

Je sais, messienrs.,. qu'en derniere analyse;

la nation

ne

gagneroit rien

a

l'économie

des

int'rcts dont

je viens de

p~rler,

si l'assigna

venoit a

tomber en

discréJit;

mais, apre

tout ce que nous avons observé

a

cet

égar

<l

il non

est

permis de

rcgarder

crtte épargne

d'int

'r

~~,..

co mme quelque chose. Nous

<leven

sur-tout n

cent!r

la

conséqucnce,

d'lns les c·r .

constanccs

ou

nous

entrons. ,,