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ui ont
'té
présenté.), entre l'assignat-monn
1
et
1
CJlLÍtrances
de finan ce, soit contrat m
reconnoissances, pour le paiement
de
la dette.
Je m'élcve, dis-je,
contre cette association,
comme
n'ajoutant rien
a
la coafiance
due
au -
assignats, comme comp1iquant
la
mesure,
comme prodiguant
des
intérets
inutiles ,
comme ouvrant la porte
a
des spéculations
dont les suites peuvent etre pernicieuses.
Et
quant
a
l'option laissée aux créanciers'
dans
quelques projets ,. entre les assignats et les
obligations territoriales, pourquoi cette option
a-t-elle été imaginée? C'est en comptant,
dit-on , sur la préférence
qui
sera
donnée
aux
assignats.
Je demande, messieurs, si une
aussi puérile combinaison est digne de
cctte
asscmblée.
H
H
Je sais, messienrs.,. qu'en derniere analyse;
la nation
ne
gagneroit rien
a
l'économie
des
int'rcts dont
je viens de
p~rler,
si l'assigna
venoit a
tomber en
discréJit;
mais, apre
tout ce que nous avons observé
a
cet
égar
<l
il non
est
permis de
rcgarder
crtte épargne
d'int
'r
~~,..
co mme quelque chose. Nous
<leven
sur-tout n
cent!r
la
conséqucnce,
d'lns les c·r .
constanccs
ou
nous
entrons. ,,