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cl'a ~
s
~
gna.
s,
pour la
liquidation
de
la (
ett
que dans le combat qu'on
livre
pour le
écarter
?
>>
·
<~
On vous parle des quittances de
fü
anc
escortées d'un
in
téret
plus ou
n1C?ins
fort.
la
réquisition du porteur,
elles
seront
échang 'e
directement coriltre
les biens nationatL·;
t
voila
cette créance éteinte ,
cette partie
de
.1a
dette liquidée.
J'
entends : on
part done
d
,t.
te vente
comme
incontestable ; c'est
d
''ot
que l'on met dans la main du
créancier
qui n'a
qu'a
vouloir pour
acquérir. On ne
p1.:ut
done
pas refuser aux
assignats
la
n~cm
solidité '
la
meme
valeur ;
c'est de
l'or
aussi ;
et
la
moindre défiance
qui
ébran–
leroit
leur crédit'
feroit tomber
de
meme les
quittanceS>>.
«
Mais ces quittamces, qu'en feront les
pro–
priétaires? que de pa¡;>iers morts ajoutés
a
d~autres
papiers morts
!
Quel
-cimetiere
ac
capitaux
!
Ces quiúances auront-elles la
facul
é
de métamorphost?r leurs maitres en
agricul–
teurs? Le plus grand nombre d'entr'eux
ne
pourront pas faire cette disposition de
Lur
fortune. Une foule de
cn~anciers
et d'arri
re·
'
I
•
I
.,
creanc1ers se presentera. Le gage n e
p
i:ransmissible
a
volonté;
et il
faudra ve
are.