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j

(

0

)

enfin

la

concordance

q

ni doit

etre

misc

entre

la

1omme

de

la dette

ct cclle

des

besoins qu'a eu le

gouvemement.

La discussion sur cet amcndement e

t

longue

et vive.

M.

Charl

L~

met

1

-

n ai

prouve

le

fonds, et en r 'prou

la

con

~ere

ti

on en

de-

cret

:J

par rapport

a

l'in "os i,

i

ite

J

,.1 <tp-

perc;.oit

clans l'e ·

'cution.

11

1

con-

sequemment

la qu

tion pr

1

I

all

rce que,

dit -il ,

ce scroit se donn r l

tort.

Mais il

invoque

un ,

j

ur

M.

MIRABEAU.

«

}'observe au pr'. pi iant

im o -

sible de donner unc

g

and

·'t

cet

a

parte

dramatiqu'"' ,

l

..

r I

t

r ,on

entendr

a

1e

nou.

'l

on

r

~

.I.

chose , tan dis que

nou~

ne

r:

ser on

ri n · c

n'est

point'

ainsi que

1'

pinion

publiqn

e

forme ....... Jene voi pas les

m"mes

incon-

veniens que

M.

de Lameth,

a

<lir

qu'il

n'y

a

pas lieu

a

deliberer; je ne

oi pas non

plus

les avantages

qu'il

trouve a

pronon~er

l'a–

journement indefini. Ajpurncr ind' finiment ,

c'est dire bien

formellement qu"on

ne

veut

pa

deliberer

~'Q