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( 341 )

le plus

contribue

a

v 'otre grand

ouvrage ,

que l'homme

qui

a

revele

au moncle

les verita–

bles principes du gouvernement representatjf,

se .condamne

lui~meme

a

un silence que je

cleplore' que

je

trouve

coupable,

a

quelque

point que ses immenses services aient

ete

me-

' conn

us, que l'abbe Si

eyes ..-....

J

e lui

clen1~nde

pardon; je le nomme .... ne

vienn~

pas poser

lui~meme

clans sa constituti_on i1n des plus grands

1·essorts de l'ordre social. J'en ai d'auta'1t plus

de ---douleur, qu'ecrase d'un travail trop au–

dt;ssus

de mes forces intellectuelles , sans cesse ,

ravi au recueillement et

a

la

meditation

qui

sent les

premieres

puissances

de l'homme ,

j'e

,

.

'

'

.

n avo1s pas porte mon esprit sur c@tte ques- ·

tion ' accoutume que

j'etois

a

me

reposer

sur ·ce grand penseur,,

de

l'achevement

cl~

son

ouvrage. Je l'ai presse ,, conjure, supplie au

nom de l'amitie dont

il

m'honore, au nom

de

l'amour de la patrie , . ce sentiment bien

a.utre–

ment

energique et Sacre , de nous doter de

ses

idees,

de ne pas laisser cette lac1ul.e clans

la

constitution: il

m'a

refuse; je

vous

le

de–

nonce. Je vous conjure'

a

mon tour' d'obte–

nir son avis

~

qui ne doit pas etre un secret:

<\'arracher enfin au decouragement un .homn1e

'do1:1t je regarae

le

silence et

l•inaction

co~me ~

une

ealamit~ p_~blique, ~t

-