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[ 24] .

,) Vous ne

craindrez

pl

us

alors

que

les

mtt..

nicipalites

soient

dedaignees

par les uns comme

des emplois inferienrs, redout 'es par les autres

comµie

des postes

de

fatigue

et d'

nnui , aban–

clonnees

a

un petit

nombre

de

postulans

qui

depourvus de tout

merite'

de toute

facult~'

e

toute

consideration

pcrsonnelle, ne tarderoient

pas

a

les avilir; car les

pL1ces

n

val nt

.,ot·-

,

I

vent' aux

yeux

des ho1nn1es'

qu

p ..

r

ri

t;e

qu'ils se fonnent de ceux qui les r

che.r c

nc

et qui les occupent

H.

H

Vous

le

savez ,

:rvlessieurs , il

n'

st pa

d'emploi si n1ince dans la soc·

't~

qui n

pui e

donn~r

du lustre a

cdul.

qui n' n a aucun

n1 _

si peu lucratif qui ne presente une ressource ..

quiconque

en

est

dcpourvu.

~flai

nous d

'ons

eiever les n1unicipalites au-dessus des ambi–

tions

et

des

inten~ts

de

ce g nre

H.

'<

Si les

Romains

n'avoient pas

tout

con-

, centre clans R.ome,

:>'~ls

avoient

jettc

plus d' ' -

clat sur les

administrCltions municipales ,

s~ils

en avoient fait le

pren~ier

echelon

d .

s

hon–

neLrS, ils n'auroient pas

ete

reduits c

fc1ire

d es

loix

de contrainte et de rigueur pour

s

1-

n1ettre

les citoyens des villes

a

e s

fc nc:.ions

onercuses. Ces

loi ~ ::

sont

rest~es;

elles

atte ·~te 1

t

les fautes ·des maitres du monde. E

.i

ton

-les