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,) Vous ne
craindrez
pl
us
alors
que
les
mtt..
nicipalites
soient
dedaignees
par les uns comme
des emplois inferienrs, redout 'es par les autres
comµie
des postes
de
fatigue
et d'
nnui , aban–
clonnees
a
un petit
nombre
de
postulans
qui
depourvus de tout
merite'
de toute
facult~'
e
toute
consideration
pcrsonnelle, ne tarderoient
pas
a
les avilir; car les
pL1ces
n
val nt
.,ot·-
,
I
vent' aux
yeux
des ho1nn1es'
qu
p ..
r
ri
t;e
qu'ils se fonnent de ceux qui les r
che.r c
nc
et qui les occupent
H.
H
Vous
le
savez ,
:rvlessieurs , il
n'
st pa
d'emploi si n1ince dans la soc·
't~
qui n
pui e
donn~r
du lustre a
cdul.
qui n' n a aucun
n1 _
si peu lucratif qui ne presente une ressource ..
quiconque
en
est
dcpourvu.
~flai
nous d
'ons
eiever les n1unicipalites au-dessus des ambi–
tions
et
des
inten~ts
de
ce g nre
H.
'<
Si les
Romains
n'avoient pas
tout
con-
, centre clans R.ome,
:>'~ls
avoient
jettc
plus d' ' -
clat sur les
administrCltions municipales ,
s~ils
en avoient fait le
pren~ier
echelon
d .
s
hon–
neLrS, ils n'auroient pas
ete
reduits c
fc1ire
d es
loix
de contrainte et de rigueur pour
s
1-
n1ettre
les citoyens des villes
a
e s
fc nc:.ions
onercuses. Ces
loi ~ ::
sont
rest~es;
elles
atte ·~te 1
t
les fautes ·des maitres du monde. E
.i
ton
-les