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,~
A cette eclatante et irresistible den6iicia.;
t!on,
qu'opp06e le prevot
de
Marseille? tro_is
ce!'tificats ; celui
du
co1nmandant
du
fort ,
celui
d'un assesseur de son tribunql
:;
celui
de quelques adjoints dont la plupart sont
du
nombre des capi-taines de la
milice
hour~
geo1se.
»
') On a cite pour lui le conseil
municipal;
mais ee
conseil
meme
~
tout n1al organise qu'i l
est~
n'a fait aueune
clemarche,
n'a pris au–
cune deliberation dont
le
prevot puisse tirer
.iucun
avantage. S'il l'a.
prie
cl.e
suspendre
les procedures
jusqu'a
la publication de votre
'decret ·du 8 octobre
~
c'etoit, en lui rappelant
son devoir, lui montrer qu'il ne le remplissoit
pas. S'il lui a demand<t de declarer pourquoi
il
ne tenoit pas les
audiences
dans le palais
de
justice, n'etoit-ce pas lui
f~ire
connoitre
par
cette question que
le
conseil Re
soup~onnoit
meme pas la pretendue impossibilite que le
prevot pretend
y
trouver? Je vous ai
montre
que clans une autre
occasion
!'adhesion que
den1andoit
le prevot lui fut refusee.
~>
>>
Enfin , on -a
cite
la
deliberation
du
3
I
deaembre : voici , n1essieurs,
quel
en
a
ete
l'objet.
M.
de
Cipiere
~
membre de
cette
as–
sen1blee , ayant
fait part au conseil de ce