( 11· }
"J)a1
clófic
été
forcé
d'€xamiñer
la
ÍégaÜté Je
notre
assembiée
~
et J'ateste
1ci
notre
h'omieur
~t
.mon
devoit , qu~
ie
ne
tne
su1s
livré
~
cet
~xanien qu;av@c ia
plus
eJXtreme
défianee. Je.
me suis
t"enu
en
garcle
contte
mes
propres
ré.o
~u1tats
z
je n'ai
fa1t ·
á.ucitb
pas
sans so_nder
le
l
terrein sur_
leqüei
j@
matchois.
ie
di rai~je
?.
j'ai
redouté
fusqu'~
l'é"1"idence.
Je vais vous
présénter
.m~s '
tM1exÍ:ons ~
1
. messieurs',
et
je n'aurai fait que devaricer les
vottes.
Mes prin.é~pés
n;ét(énneront
p,oint
é~UX
q"i
ont étudié
les
titte~ des nations
dans
le
code
-1{on é~rit
du ·d'toit univer.sel ; et . éelu~ ..
}a
séul
est
éterneHement
légitime.' L'applitattóri
qtíá
ie
fe_tai
dg
ces
pr.rneipes
a
1\isseniblé@
acfüelie
tle
n9'S
états ne
doit
effraye.t au-aune
da~se
dé
t:itoyens
t
j'apporte
ki . l'.olivi~t
dé
la
p-aix ,·
,'et
nort te
-fl-ambeau
de
la
1
discorde ;
et
ines -
conséq1.1ehée~ , d1gnés
tout
~
la
fois 4e .nos
devoirs et de mes
sentim.em·, ne t.eildroñt
qu'a
reunir
les esptits et ies
intérets :.
I
n
est im.1tilé de
:{lÓUS•
1€
dis·sinuíler ;
Íes
di..;
licu1tés qtte nous·,
éprouvons ;
et
les
protes~
tatio-n·s qu'
on annortce
de
toute
patt
n.e
p<mvent
-- qn'inspirer
a
chacttfi <l,e nous
les
craintes les
plus
Justes
sur
fa_,
légafüé
de cette
áss·emblée-t
Repré$ent€r
urte ,n~tiqn,
est le
droit
le
ph1,
;t'ome
l ~
B