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assemblées comme de simples compagnies de
finance, elles sopt aussi de·s póliti–
·ques, bu par ·conséqttent tóut noble a droit de
_voter. Malheur a cem,:: d'entre nous qui pour–
roient n'y apporter q~1e de vils calculs. Ils vio..
leroient non-seulement la justice; et , pour moi
personnellement, je ae considere que ce motif:.
mais ils manqueroient a leur.propre prudence;
car ce n'est pas quand on a la · prétention de
résister a tant de millioris d'hommes· dtt tiers""
itat , qu'il convient de s'isoler de ses égaux.
M<;m avis est done qu'au lieu de nous· mon–
·1'.rer les adversaires de nos freres \ at1 moment
011 ils commencent· leur j~1ste' réclamation,,
nous remettions <l'abord ' l~s nobles no_n _pos~
s~dans-fiefs dans nos asseinblées de la noblesse,
puisqü'ils ' s'en sont plutot, 'r,~tirés qu'ils .n;en
.ont été e!(clus _, et que nous n'apportion.s at1.,.
cun obstade a ce qu'ils entrent avec n<?tre
ordre dans les états, .qui seuls, lorsqu'ils se–
tont légaletneni'as-semb1es J~t for~és, p.euvent:~
a'pres 'les avoir entendus\ ]hger si l~ur admi$-
SiOn est ~p.n'est pad_éiai~. ,_. ·, .
Que toút sóit just~ aujourd'hüi , . tout__ ~ei:a.
légéll demain. ' .l ' I .
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-,· ( Cett~.· .op;imion · n'eut · qhe la voi1:" de-sofi ·.:a,
¡fonneur am_essieurs les l1.ossédans-fiefs de la_E.wvenc~!)