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t
I- )
n'exige· pa-s mo-ins:. que les d-i~~ers. Qrdres qui
se
:f<fa.1Hiss.ent efll · corp.s:
de nat.ion
n~eTutrent
dans oe tout
qu'avec
.la m@sure
r@.la-:tive .
de
leur -imíYOrtance. Les états s.ont
pout
fa
Flíatilon,
ce ,q,u''esJ~
1Lme
carte
.ré'duite -pout
son
ét,ermclu~
physique ;.·soat -
en pa:rtie,,
.s.oit
en
,g,1ta"n,d,
1~
n :pie
,dbit toui~u~.s-
avoir les
memes
p,ropór~
t1ons
~ue
l'9riginalw · ' ·
Mais
on
n'a
point
.eflco-re.
touché
a:
eett.~
par.fie de
n.o:t-ire. droiLpublic..
L'égalité
entr~
le
ru0mh-n:
des .
c·ommtines-
et celui.
~des
·deux.
premiers,
ordres·,
est-le d€rnier état ~es.
choses:
relativement aux
cÓihqüet.es_. qti~
ia r.ais.©!.R fai.t
sans
ci s.&e
sur ies
pr~iu.gés..
Je: ne-
1<ais-0n.merai
done
,que<d~qpres
ce
principe p~óvi$oi_i-e. ~-
Enfin, j'ai dit que la repré.s.entation
égale·
€.r.t
nom±>Te
cl <t>iit
l'etre
aussi en..
puissan,ce..
E-lle le sera' ;
si
les
s-u:ffrages- des·
représen--·
tan.s inégaux
,ont
inégau~,
.et si
les s,uffrage~,
eles , représentans égaux
sont
égaux ... EHe
le
sera,
sÍ!
lorsqu'il
s'agit
de
·connoitre'
la
vo,
1on.té. ./
cl'une nation,. les suffrages
sont
recuei:lLis .de
mapiere
que,l'on
ne
puisse
pas se tromper au
-point de
prendre
la volonté
d'nn ordre pour
e
elle d'ul! autre, ou
la
volon
té
p~r ticuliere
de
ql\el-ques
individt~s
pour la volonté générale.
e~,
principes sont incontestahlement
les,
B-'- -s