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ne puisse
.ni
prendre , ni clonner le change
sur
mes opinions ,
que je ne
demandai
la
··
réduction que
pour
la · légitimatiOn des
pou–
voirs, et que je
la
réclamai
seulement
d'apres
<:e principe
,
que nul ne
pe11t etre
juge
et
partie. Qui
ne
sent en
eífet que l'illégalité
des
prétendus
états
tenant
aú
défaut de
pou–
voir
de
chacun
de
nous ,
la
réduction
n'auroit
servi
qu'a
diminuer le nombre des non-re–
présentans ,,
sans
leur
donner
aucun
des
carac–
teres
de la puissance publique , qui réside
encore
toute
entier-e
dans la .
nation
1,
et
qu'il ne ,dépendoit pas de
1-'assemblée
de s.e
conf
érer
a
elle--mem€
?
Que
ce
moyen
terme ,
pr(?posé pour évitér
tout
a
la foís les
·inconvéniens
d'une
com-mis–
sion
dictatoriale , et
pour
rassurer
les
cin–
qi.tante-six
membres
/des
communes
contre la
prépon~érance de cent
quatre
-vingt
voix ,
fut rejetée
sur
le
champ,
no11
par l'opinion
individuélle de
l'as's€mblée,
mais
pa:r ac~
la.ma–tion
dans les deux premiers ordres ,
bien
qfil
fut
de la der.niere év-idence
q1,1e' l'assem–
blée
devoit
se
réduire , avant
d'
opiner
si
elle
devoit
étre
réduite.
U s'agissoit
de
fixer le
tri...
bun;i.l qui jugeroit le rapport
de
b commi;sion
ies
pouvoi,rs ;.
mon
opinion te1,clQit
a
reiete:r -