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PANDORE.
J ·U F I TER,
a
Mercure.,
Prencls soin de concluire Pandore;
Dieux; que mon creur est désolé
!
J'éprouve les hor~eurs qui menacent le momle.
L'univers reposait dans une paix profond,e;
Une .bea1:1té parait : l'únivers est troublé.
(Il sort.)
PANDO.RE•
. O joµrs de ma naissance !
ó
charmes tro:p funestes
!
Désirs naissants, que vous étiez trompeurs
!
Quoi
!
la beauté, l'amour, et Jes faveurs célestes,
Tous les biens ont fait mes malheurs?
Amour, qui m'as fait naitre, apaise 'tant d'alarmcs ;
N'~s-tu pas souverain' des dieux?
Viens sécher mes larmes,
Enchaine et désarmes
La terre et les cieux.
FIN D U T
RO
IS I
E
irLE
A
CTE.