ACrfE CIN_.QUIE~E.
·{ L'e théatre teprésente un bocage,
a
trávérs le·quei Ón
v¿iÚes ·
;débris des rochers: )
·
PROJ.V.Í.lfTHEE,
1
PANDORE.
'
.
PANDOilE,
tenantlahoite.
EH
quo·~ ! vous me quittez, cher ama,nt que j'adore
?.
·
Etes-v0us soumis ou vainqueur?
·
PROMÉTHÉE.
ta victoire est
A
moi, si vous m'aimez encore.
' L'Amour et le Destin parlent en
ma
fave~;. · ·
PANDORE,
Eh
quoi
!
vous me quittez, cher am,ant que j'ádore
!
PROMÉTRÉE.
Les Titans' sont tombés; plaignez leur soit affr.eux .
. Je dois soulager leu~ chaine.
'
Apprenons
a
la 'race humaine
Asecourir le·s malheureux .
PANDO RE,
Demeurez Ún moment. Voyez votre victoire.
Ouvrons ce don charmant du'souverain des dieux :
Ouvrons.
PR.OMETHÉE.
Que faites-vous? H~l~s! daignez me croire.
Je -crains tout d'un rival, et ces s0ins curie?x
Sont des ·pieges nouveaux que vous te-ndent les dieux.
Thé~tre.
3.
~ I