EN AUTRI CHE.
me-nt remarquahles par leur heauté
ni
meme
par leur nombre: Ainsi, en 18 lo, .
il
n'y en
~
existoit
qu'environ
19,000
dans toute cette
province. Ces chevaux, généralemeút d'une petite
stature, n'ont pas une grande vigueur. On
ne
peut g11ere s'en servir pour trainer de g ran~s
fardeaux. La maniere d'ont on les éleve contri-
-
/
tribue beaucoup
a
en détério'rer la race.
Les moutons y sont encore hie1i plus négli'"'.'
gés que le gros bétail. En
18w,
on n'en voyoit
g·uere plus de
I 1,000
dans - !e généralat. Une
épizootie
a
peu pres périodique' et qui se re–
nouyelle · to{1s
les ans , empeche heauconp )a
multiplication de ce·s animaux. La laine qu_'on
en retire ne suffit pas aux hesoins . du pays.
Quoique tons ces cantons soient monfagneux, on
n'y
élev;e pas cependan} un grand. nombre de
chevres; airisi on
n'y
en "comptoit gnere plus
de
-1-,400,
en r 8 ro. Le. nombre des cochons
- ~ augmente, au contraire, tous les jours. Ain·si,
dans le seul géneralat de W'arasdin, on en a
ccni1pté plus de, 6~,oob. ·
_
-
,
. L'hbondance
chi
ma1s· a po:rt6 les hahitrins du
généralat de Warasdi~
a
_é(~ver;_
1~rie
gr~nde
,q1{an–
tité de cochons. c ' est.aussi
pou,r
OCQ~sommer le
ma'is que l'on v~oit _un si .grand nomhre i·d'oies et
de dindon,s, qui ne laissent ·pas que d'etre une res-
,
source .pour les habitans de · C'ette provin~e. Les
autres oiseaux
dé .
hasse-cour,
ma1s
snrtop.t
le~
18.