EN _AUTR:I(;HE.
1
107
les
voit
etrer de
lieu
en lieu avec
leurs
famille~
ambulanús,
et
sans
pouvoir
jamais se
fix.ernulle
pa;rt".
L'hábillement
des Czing-arés
se eompose d(r
q.uelques
misérahtes
lambeaux,
reste
de-
quelque
hahit wa.llaqu.e, que l~ plus
souvent
ils ont
dé~
mhé.
Leurs fo;r;nmes
n:e
sont
pás
miet}'X
vetues;
~nes
sei1ible11t
:rneme
se plaire
encore
plus
qué
J<:S h:OIDlJl~S
dal1$
UJle
;rnalpropreté
dégoutante~
Envelopp~ej
-da.ns:.de
triste.s haiHons'
qui
recoth
vrent
a
peine
ce
qüe la
pudeur
les
o:hlige
-de
tenir
caché,
elles
portent:
constam:ment
leurs_
e1,1fan!;,.
~ur.
l~\l.f'
dos.
Elles
-vont
"-.ainsi
deroandant
l'au~
lUÓne,
ou Vfndant quelques 'mauvais~s
drogues
de village _ en villag,e , excitant autant - la .
pitié
q\W
la.
curipsjté
pár la singula:r;ité
de
leür
cos–
t1,Ím.~
~t
de
leurs
ma:uieres.
Les
rues
et~ les places \
p-11hliques
~ont
lems
demeures
habituelles,. et
les
p&ssau~
&Ollt
ay~rtis
p~r
l~u¡~
voix
glápis..,.
pan
te' '
que
pre~
d'
eux
un '
etre
soqffrant
ef mal:.
-h~ur~llf-
implore
I~ur
misé:ricorde.
J\b is
a
peine
19nt....
elles re~u
le 1denier
de l'aqrnone,qu'elles
von:t
.s~tisfaire le\u ·passiori pour les liquenrs.fortes (
1
)~
Les trois
langues·
en
usage
~ans
la
Transyl–
~a;nie
~ont_FaJlemand ,.
le
wallaque
et
k
hongrois.
(1)
Sartori.
Laender und
'f7
celker
Merkwürd/gkeiten
des Oesterreichisclcen l(aisert/mmes.
ºVVien
.
1
1809
,
t.:
1-,-
í
p.
162.