cqufte ,
de
la)'.'ges pantalqns d'nne étoffe gros.:.
, siere, 11~1e
1
pelisse · d~ pea
u
de m9uton, ou un
mantean de gros drap
t
tel est leur habillement
'o:rclinaire.- Les
~femmes
seules ont une certaine
élégance dans leurs vctemens. La long~ie che–
mise.. qui couvre l;eur .corps n'est certaine~en,t
pas disposée sa11s
gM\t
et · sans une _ cert~ine
·cnqtíetterie. Leur nourriture se horn@, polir les
gens du peuple'
·ª
.une éspece de
polenta
faite .
avec le ma:is,-et qu'ils, appellent, a .cause ~e cela,
·
;"Manialiga.
Quelquefois. ils
font
cuire. l~ous
1~
<;endre des g~teaux ,au beurre, dont le goi'it est
a~sez ag,ré~ble et qu'ils nomment
Plt;ttiohinta.
Leur physionomie annonce un ·esprit . pe~1 cul-–
·tivé et des etres ~ncore grossie,i:s. · Leur , fron;
est généralement has, siffoim.é de bonne henre
par des rides profondes qu'or_nbragent des chev~ux
-'noirs et épais. Leurs d1eveux deséendent
ordi-
nairement tusque
1
snr leurs yeux ' tandis
que
,
.Slff
le d~rriere de let~r
tete
ils
SOilt t01,1t-a-fa:Ít
courts. Leurs sourcils -sónt noirs et
fournis,
leurs yeux petits et vifs ; enfin _ leur visag·e,
. maigre, paroh·
e:n:Core
plus décharné,
a
cause
de
-laur barbe qu'ils ·1aiss_¿n,t ~roitre génétalement; Ils
sont
loin de· se
faire
remarque.ti'par une
statnre
, é1evée,
et la plupart
sont d'un,e fort petite tailk.
.Leurs femmes, quoique en général: fort
grasses,,
ne sont pas .cependant dépo~uvues de heauté ; ,
ellei se font toutes rem~rquer -par une
grande