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VOYAG-lt
seulement celles
de
savon
de
Debretzin.
Ces
man
u'"\
factures en fahriquent annuellement plus de
7,000
quintaux. Les fabriques de papier de Treplitz,
de
Bnde
,-de
Fü.nfkirchen, de
W
aitzen et de Kas–
chau donnen.t , un papier d'une assez mauvai~e
quali'té; mais cepeudant
il
trouve
ím
assez grand
déhit
da:ns
la
HQng¡ie. Quant aux manufactures
de
potasse
de
Tolna et
de
Erdre-Krevesd, elles
sont asse~ renommées d,ans
le
pays. Les distitler.ies
d~
Rosoglio, de _Ujl~ck,
de
Bethler et de Pilis
Esaba sont '. tres--t1tilés.1
On
peut
.encore remar–
queF'
1es moulíns
Á
' poudre
de
Radwan
>.
de Bude,
de
Monostor
et
de BaUens-tein , et · enfi.n les
manufactun~s
.-de
.p~terie·s de Litze, de Hitze, de
-Suve_tte ,
de
Miko-ltschaw,
de
,Nastray, de Par-
latz
et de
D'eres,chk.. ·
Ce
deFnier g-enre de fahrica–
tion est
un
objet 'd'industr:ie as·sez important pour
les habitans de plnsie1:1rs cot.ntés-de
la
Hongrie ,
et une
·ress~uree
assurée pour
u:m. .
tres - grand
- nombre. ·
Les manufactures de la IIoHgrie sont ,done peu
avancées / aussi
a
peine peuvent-elle suffire
a
la
cons-ommation in,t,ériertre.
E.Hes
ne sont point., en .
e.ff et, ·
une grande source
de richesses
pour
eette
province_; qui en trouve une
plus
assurée
dans les
· p:roductions de
son
vaste territoire.
A
la
vérité, ·
le
défaut de chemins met en Hongrie
un
grand '
obstacle au débit de ces prqd1:1ctions,
et
en rend
l'i~portation
aussi
difficile
q1~e
coúteuse.
Cepen-